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Notre camarade Philippe GIRAUD membre du bureau du Perpignan 66 Chapter France, vient de faire éditer son premier roman :
"LA PANNE"
En attendant: vous pouvez commander son livre sur le site de la FNAC / LA PANNE de phil LIEBKNECHT /.
A lire sans masque et sans aucune restriction en attendant la ..........
https://livre.fnac.com/a15644508/Phil-Liebknecht-La-panne
Chers amis du PERPIGNAN 66 CHAPTER,
Nous revoilà repartis pour un tour avec cette pandémie qui nous frappe durement. J'espère que vous allez bien ainsi que l'ensemble de vos proches car, avant tout, c'est l'essentiel.
décidément, 2020 restera vraiment très spéciale....
Même si nous avons tenté de faire quelques balades, organisé notre barbecue début juillet, un mini rassemblement le week end où nous aurions dû célébrer nos 10 ans avec tous nos amis, cette année d'anniversaire ne ressemblera, on l'espère, à aucune autre....
Pour l'instant, comme nous le faisions traditionnellement, notre soirée annuelle ne pourra pas avoir lieu et nous n'avons aucune certitude pour notre assemblée générale de janvier.
Ce re-confinement nous oblige bien entendu à cesser de nouveau toutes activités.
Xavier et Pierre nous ont informé que la concession restera ouverte pour la partie atelier et que nous pourrons obtenir aisément un rendez vous pour tout achat commercial en appelant au préalable. Des motos, accessoires et autres sont à notre disposition, surtout avec les fêtes qui approchent à grands pas.
Nous allons profiter de cette "trêve hivernale" pour organiser l'année 2021 avec plein de balades, des week ends et de nouvelles activités qui vous seront proposées (journée karting, balades culturelles avec visites, etc...) et bien sur, tous nos rendez vous festifs habituels.
En attendant de pouvoir tous nous retrouver, prenez soin de vous, restez prudent et n'hésitez pas à nous contacter, moi ou les membres du bureau, si vous avez besoin de quoi que ce soit.
Bien entendu, si l'un d'entre nous se sentait isolé, confiné et avait besoin de notre solidarité et de notre amitié, nous serons toujours présent.
Je vous souhaite à tous beaucoup de courage pour cette nouvelle période qui s'ouvre devant nous.
Avec toute mon amitié
votre directeur, Salvador VERDU
Pour évitez toute propagation du coronavirus (COVID19) lors d'un grand rassemblement, L'European Bike Week 2020, qui devait se tenir à Faaker See, en Autriche, a été annulée. Nous nous engageons à protéger notre personnel, les participants et la communauté et avons hâte de vous retrouver lors de l'édition 2021.
Crédit photo : Pierre Lauvergeat (dans le side) et Christophe de Goulaine (au guidon) ramènent la moto sur ses terres d’origine pour témoigner de l’amitié franco-américaine et transmettre un message de liberté incarné par l’engin. © Olivier Touron pour VSD
Pour commémorer la fin de la Première Guerre mondiale, deux motards nantais partent cet été traverser, pendant trois mois, les États-Unis aux commandes d’un side-car Harley-Davidson débarqué en 1918 avec les soldats américains. Un périple de 8 000 kilomètres qui se prépare activement depuis neuf mois au château de Goulaine pour restaurer et dompter la mécanique.
C’est une histoire qui va nous faire revivre l’Histoire. » Face aux 1 844 soldats américains reposant au cimetière de Bony, l’un des lieux emblématiques de la bataille de la Somme, Christophe de Goulaine et Pierre Lauvergeat se recueillent. Les deux amis de trente ans prennent la mesure de l’aventure qui les attend. Depuis près d’un an, les Nantais ont décidé de commémorer, à leur manière, la fin de la Première Guerre mondiale, en ramenant sur sa terre d’origine une Harley-Davidson attelée ayant accompagné les sammys venus libérer la France à partir de 1917. Celle-là même avec laquelle le premier soldat américain est entré en Allemagne. À son guidon, ils ont prévu de traverser le continent américain. De Floride, ils remonteront jusqu’à Milwaukee (Wisconsin), près de Chicago, au siège historique de Harley-Davidson et lieu de naissance de leur side-car. Ensuite, direction la Californie par la mythique route 66, la fameuse « mother road » empruntée par les pionniers partis à la conquête de l’Ouest, dont les motels et les stations-service symbolisent un modèle de civilisation qui continue de nous faire rêver.
Olivier Touron pour VSD – Le américain de Bony accueille 1 844 croix de soldats. Le 27 septembre 1918, la bataille de Bony fut l’une des plus meurtrières de la Somme, avec près de 6000 morts.
« Au-delà des commémorations, il était important pour nous de célébrer humainement ce centenaire et d’aller simplement à la rencontre des Américains pour les remercier d’avoir sauvé l’Europe et leur transmettre un message d’amitié et de liberté incarné par la moto », s’enthousiasme Christophe de Goulaine, l’initiateur du projet. Qui en profitera pour marcher sur les traces de son ancêtre, René Goulaine de Laudonnière, un protestant exilé au Nouveau Monde lors des guerres de religion de la fin du XVIe siècle et fondateur du bastion de Fort Caroline, à l’époque de la Floride française. Son acolyte entretient également des liens intimes avec les États- Unis. « Sans les Américains, je ne serais pas là », confie Pierre Lauvergeat dont les soldats de l’oncle Sam ont sorti le grand-père des tranchées de 1917 et libéré le père des camps en 1944.
Olivier Touron pour VSD – Le château familial, classé monument historique et géré par Christophe de Goulaine, sera le point de départ de l’opération Twin Links.
Baptisée opération Twin Links, leur épopée est l’un des rares projets de commémoration transversale, à la fois labellisé par la Mission du centenaire en France et son équivalente américaine, la World War One Centennial Commission. « Au-delà de la commémoration de la fin de la guerre de 14–18, l’objectif de notre projet est surtout de célébrer les nombreux liens qui unissent la France aux États-Unis », soulignent les deux complices. Le pèlerinage au cimetière américain de Bony devait aussi servir de premier test de roulage pour la Harley-Davidson J18 attelée. Lors du Débarquement, ce modèle capable d’atteindre 80 km/h servait surtout à porter les messages entre les lignes. Environ 16 000 exemplaires auraient ainsi débarqué en Europe. Après l’armistice, les véhicules furent laissés par les Américains et revendus par les Domaines au titre des surplus de guerre. Inconnue en France, la grosse Harley suscite l’intérêt. À l’époque, la majorité des motos françaises sont des petites cylindrées, souvent monovitesse, à transmission à courroie. À côté, le bicylindre américain fait sensation avec son litre de cylindrée, sa distribution semi-culbutée, son graissage automatique par pompe, son allumage par magnéto, sa boîte à trois vitesses et son embrayage, sa transmission par chaîne, sa poignée de gaz tournante et sa fourche à amortisseur. Mais les nouveaux propriétaires déchantent vite, car la Harley-Davidson se révèle très gourmande en essence (10 l/100 km) et en huile (1 l/100 km). La J18 sera finalement délaissée au profit de motos plus économiques et remisée au fond des granges sans avoir été vraiment usée. « Presque tout est d’origine, en particulier les cylindres et les pistons en fonte ; c’est inusable », estime Pierre Lauvergeat, ancien mécano moto.
Olivier Touron pour VSD – Christophe avait donné à Pierre une moto en pièces détachées. Neuf mois lui ont été nécessaires pour rassembler le puzzle et restaurer les meilleures pièces, qu’il a souvent fallu adapter.
Acquis il y a quelques années en vue de cette épopée, le side-car de Christophe de Goulaine était en piteux état. Toute la carrosserie était rouillée et tous les roulements grippés. La renaissance fut loin d’être évidente. Neuf mois et 1 300 heures de patient travail ont été nécessaires pour restaurer et fiabiliser la mécanique, dénicher les pièces d’origine nécessaires au remplacement des éléments défectueux et constituer un stock de pièces de rechange. « L’objectif est de partir dans la même configuration qu’en 1918 », fait valoir Christophe de Goulaine. Enquiller 8 000 bornes sur trois mois avec une mécanique centenaire entièrement d’origine ne fait pas peur aux deux compères. « À force de la démonter et de la remonter, je la connais par cœur. J’ai décelé ses points faibles. Elle n’est pas très fiable, mais on va l’économiser », avance Pierre Lauvergeat. « On tombera certainement en panne, mais ce sera l’occasion de faire de nouvelles rencontres… », philosophe de son côté Christophe de Goulaine.
Olivier Touron pour VSD – Premiers roulages et première panne… d’essence. Un jerrican (d’époque) et ça repart !
Après de nombreux déboires et de multiples anecdotes (premier démarrage à l’aide d’un moteur de machine à laver adapté), le side-car a enfin fait ses premiers tours de roues le lundi 23 avril 2018 autour de la place de la mairie de Montaigu. Depuis, les deux motards multiplient les sorties depuis le château, point de départ du périple avec un embarquement en cargo prévu à Saint-Nazaire le 6 juin prochain. Pour revenir sur ses terres cent ans plus tard, le side-car Harley-Davidson empruntera exactement le même chemin qu’en 1917, mais dans l’autre sens.
Par Thierry Butzbach
De l’extérieur, Brandon Turnbow ressemble à un motard au cœur dur. Mais malgré sa barbe, ses tatouages et ses vêtements en cuir, ce motard de Burleson, au Texas, a montré au monde qu’il ne faut jamais juger un livre à sa couverture.
Brandon qui conduisait sa moto était en chemin pour rendre visite à son père quand il a soudainement vu une voiture qui se garait sur le côté. Un homme est sorti avec son chien, puis ce monstre s’est mis à battre le pauvre animal, écrit LittleThings.
Brandon a été choqué en voyant de loin la scène se dérouler sous ses yeux. Le propriétaire du chien a jeté le chien et est reparti en voiture, laissant son pauvre chien livré à une mort certaine sur le bord de la route.
Brandon est arrivé et s’est garé à gauche du chien pour le protéger du bord de la route, l’a attiré vers lui et lui a donné le nom M. Davidson (car bien sûr il conduit la fameuse Harley), puis il l’a mis en sécurité dans le sac derrière lui sur sa moto.
Brandon Turnbow/Facebook
Mais, bien sûr, Brandon n’avait pas oublié l’ancien propriétaire du chien. C’est pourquoi il l’a rapidement rattrapé avec sa moto.
J’ai rattrapé ce gars pour lui faire un doigt d’honneur, écrit Brandon sur Facebook et il continue: Et maintenant, j’ai un nouveau co-pilote, voici M. DAVIDSON.
Brandon Turnbow/Facebook
M. Davidson a été le passager de la bien-aimée Harley de Brandon pour le reste de la journée, et la sensation de l’air frais sur son visage lui a beaucoup plu. Maintenant, il était enfin en sécurité.
Après avoir passé une journée sur la route, Brandon a choisi d’adopter M. Davidson, et aujourd’hui ce petit chien a enfin la maison qu’il mérite.
Brandon Turnbow/Facebook
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Car, après avoir sauvé et adopté M. Davidson, Brandon a fondé une organisation d’animaux appelée la “Baaang Bikers Against Animal Abuse National Global” pour que tous les motards américains soient unis face à la maltraitance animale. L’idée est que les gens qui voient des animaux mal en point ou maltraités appellent l’organisation, ce qui permet ensuite à Brandon d’envoyer le motard le plus proche sauver l’animal.
Quand Brandon n’est pas sur sa moto, il chante et écrit des chansons.
En fait, le sauvetage de M. Davidson l’a inspiré et lui a permis d’écrire une nouvelle chanson qui parle de son nouveau meilleur ami…et aujourd’hui la chanson et la vidéo sont devenues virales. Vous pouvez la regarder et l’entendre ci-dessous!
Brandon est vraiment un bon motard et cette histoire nous rappelle que l’on ne devrait jamais juger un livre à sa couverture. Partagez l’article avec vos amis si vous êtes d’accord!
Etienne, qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il fasse chaud ou froid ... tu étais toujours là.
Etienne, assis sur ton tabouret, avec ta cigarette, tu passais tes après-midi à la concession.
Etienne, tu étais une présence inamovible, un point d’accroche pour aller discuter.
Etienne, tu étais aussi une « gueule », un visage buriné « loup des mers », un éternel sourire en coin, un regard vif.
Etienne, tu étais la mémoire des Clubs Harley-Davidson du département.
Etienne, tu as créé un reflexe pavlovien chez beaucoup d’entre nous : en rentrant dans la concession, inconsciemment, nous cherchons ta présence.
Etienne, maintenant, il faut nous habituer à ton absence.
Etienne, longtemps encore, nous parlerons de toi ... assis sur les tabourets des « Sénateurs ».
Etienne, bonne route parmi les étoiles.
Le Chapter 66 sera présent à cette cérémonie pour accompagner Etienne vers sa dernière demeure.
Nous vous donnons rendez-vous à la concession à 13h45 et nous partirons en convoi à 14h00 pour l'église Saint-Martin.
Pensez à porter les couleurs du Chapter.
Plus de 200 préparations sur base de Roadster
Election du plus beau custom jusqu'au 14 février
Pour la troisième année consécutive, Harley-Davidson relance son concours de préparation Battle of the Kings.
Après le modèle Street en 2015 puis le Sportster Iron 883 l'année dernière, c'est sur une base de Roadster que les différents concessionnaires européens doivent aujourd'hui composer. Force est de constater que le matériau semble en inspirer beaucoup puisque ce sont plus de 200 préparations qui sont aujourd'hui engagées dans le concours.
Les candidats venus d'Europe, du Moyen-Orient et d'Afrique n'avaient que très peu de règles à respecter dans le cadre du concours : utiliser une Roadster et ne pas dépasser 6.000 euros de pièces pour la customiser.
L'imagination n'ayant pas de limite, on retrouve de tous les styles, du custom dépouillé à la sportive carénée en passant par le scrambler, le café racer ou encore le side-car.
Maintenant que les participants ont été sélectionnés, c'est au tour des internautes de donner leur avis en votant pour leur réalisation favorite sur le site du concours, jusqu'au 14 février.
Plus d'infos sur les concours de prépas
- Site : customkings.harley-davidson.com
- Votez pour Harley Davidson Perpignan 66!!!!
- Préparation Perpignan 66
Depuis le 20 novembre, conducteur et passager d’un deux-roues motorisé doivent porter des gants. Une obligation qui peut créer la confusion chez les motards entre conformité, homologation et étiquetage. Devez-vous changer vos gants ? Acheter une paire neuve ? On fait le point.
Porter des gants à moto est obligatoire pour le conducteur et le passager d’un deux-roues motorisé depuis le 20 novembre dernier. Nombreuses sont les interrogations des motards : dois-je changer mes gants ? Quelle différence entre « certifié CE » et « homologué » ? Quelle étiquette dois-je avoir sur mes gants ? Voici notre éclairage.
Dois-je acheter une paire neuve si je possède déjà des gants de moto ?
Non. Les gants doivent être « conformes à la réglementation relative aux équipements de protection individuelle » : concrètement ils doivent être conçus pour limiter les risques de blessures en cas de chute. Un organisme de contrôle s’assure que les modèles des fabricants correspondent à différents critères comme la résistance à l’abrasion par exemple. Si le modèle passe le test, il reçoit le marquage CE.
Détail qui a son importance, la mention CE doit être apposée sur une étiquette ou sur un support fourni avec le produit. Il n’est donc pas obligatoire d’avoir l’étiquette à même le gant, CE peut très bien être inscrit sur la boîte du produit. Comme le précise le site la DGCCRF : le marquage « est apposé sur le produit lui-même, à défaut sur l’emballage ou le document d’accompagnement ».
Puis-je rouler avec des gants de jardinage étiquetés CE ?
Non. Ce n’est pas l’étiquette CE qui fait la protection, on retrouve celle-ci sur de nombreux produits qui n’ont rien à voir avec la moto, mais elle est attribuée pour des exigences différentes, fonction de l’activité à laquelle le produit correspond.
Comme écrit plus haut, les gants doivent être « conformes à la réglementation relative aux équipements de protection individuelle ». Il s’agit bien d’équipements de moto, et pas de jardinage, gants de vaisselle ou autre !
Mais quelle différence entre marquage CE et norme ?
La norme (ici numérotée 13594 : 2015) est un niveau de contrôle supplémentaire, qui correspond à un cahier des charges plus précis. Mais il n’est absolument pas obligatoire de circuler équipé de gants correspondant à cette norme. Concrètement, elle est matérialisée par un logo spécifique sur les gants (ci-dessus).
Si elle n’est pas obligatoire, la norme assure tout de même un niveau de protection supplémentaire, mais de posséder des gants qui répondent à cette norme relève du choix de chacun.
Vous voilà prévenus, l’absence d’étiquette CE sur vos gants n’impose pas de les changer. Lors d’un contrôle routier, on devrait se contenter de vérifier que vous portez bien des gants de moto que l’on peut qualifier d’équipements de protection individuelle.
En découvrant qu’un des leurs était en difficulté sur le bas-côté d’une route du New Jersey, Dan Barkalow et ses amis, des motards américains, se sont arrêtés pour le secourir. Les bikers sont tombés sur Bruce Springsteen en personne !
Voir les photos
(Capture Facebook)
En revenant du Veteran’s Day, (l’équivalent du 11 novembre, ndlr), Dan Barkalow et ses amis tombent sur un motard en difficulté sur le bas-côté d’une route du New Jersey. Ni une ni deux, les autres bikers lui viennent en aide et tombent des nues : le motard n’est autre que Bruce Springsteen.
“Je descends de ma moto, et là je vois Bruce Springsteen. Je lui fais alors remarquer que sa tête me dit quelque chose", explique Dan à la CNN. En attendant l’intervention d’une dépanneuse, The Boss s'installe à l'arrière de la moto de l'un des amis de Dan, direction le restaurant le plus proche.
En compagnie de la légende du rock, les motards descendent plusieurs verres et refont le monde: “C'était vraiment un chic type, très abordable. On a parlé des groupes de rock du coin et de sa vie dans la région”, détaille Dan au média américain.
Dan a immortalisé sa rencontre avec la star et a posté son histoire sur Facebook ! Son post est devenu viral en l’espace de quelques minutes…
Commentaires
Merci Salva j'espère que 2021
Merci Salva j'espère que 2021 nous apportera plus de bonheur..